Dans les années qui ont suivi le concile Vatican II, de nombreux fidèles catholiques ne s'y sont plus retrouvé dans les réformes de la liturgie, d'autant plus qu'il a fallu quelques années pour qu'elle s'uniformise, et que certains prêtres progressistes en ont profité pour chambouler tellement les habitudes que les paroissiens ont fui, apeurés. Ils regrettaient le faste, le chant grégorien, le mystère des prières en latin et aussi leurs habitudes...
De nos jours, la liturgie de l'office du dimanche est identique partout, sauf quelques points de détail, on y chante aussi bien le Kyrie, le Sanctus ou l'Agnus en latin qu'en français selon l'ordinaire choisi, et les cantiques, avec des refrains faciles à retenir, même s'ils ne sont pas d'un haut niveau culturel dans la musique ou les paroles, sont entonnés par toute l'assemblée, on y prie dans sa langue, tout le monde va communier en procession, et l'encens est très souvent utilisé, apporté par les servants d'autel.
Un des buts des pères conciliaires était une plus grande participation active et réfléchie à la Messe, par des chants et des prières intelligibles par tous. Et c'est vrai qu'il y a beaucoup de vie dans nos églises pendant l'office. Trop ? Parfois on peut se le demander, parce que nos liturgies sont bruyantes, en ce sens qu'il y manque souvent des temps de silence et de recueillement. Comme si on voulait occuper tout l'espace et le temps par la musique chantée ou jouée à l'orgue, et par les paroles. Au risque de ne plus entendre et écouter le murmure de l'Esprit...
Quant à l'ancienne liturgie, les jeunes ne la connaissent pas, et pour cause, donc, ils ne peuvent pas avoir de point de comparaison, et les plus anciens disparaissent petit à petit... D'ailleurs, il est plus difficile à un pratiquant actuel de suivre un office selon la liturgie d'avant le concile que de participer à la Messe en pays étranger dont on ne maîtrise pas la langue !
De nos jours, la liturgie de l'office du dimanche est identique partout, sauf quelques points de détail, on y chante aussi bien le Kyrie, le Sanctus ou l'Agnus en latin qu'en français selon l'ordinaire choisi, et les cantiques, avec des refrains faciles à retenir, même s'ils ne sont pas d'un haut niveau culturel dans la musique ou les paroles, sont entonnés par toute l'assemblée, on y prie dans sa langue, tout le monde va communier en procession, et l'encens est très souvent utilisé, apporté par les servants d'autel.
Un des buts des pères conciliaires était une plus grande participation active et réfléchie à la Messe, par des chants et des prières intelligibles par tous. Et c'est vrai qu'il y a beaucoup de vie dans nos églises pendant l'office. Trop ? Parfois on peut se le demander, parce que nos liturgies sont bruyantes, en ce sens qu'il y manque souvent des temps de silence et de recueillement. Comme si on voulait occuper tout l'espace et le temps par la musique chantée ou jouée à l'orgue, et par les paroles. Au risque de ne plus entendre et écouter le murmure de l'Esprit...
Quant à l'ancienne liturgie, les jeunes ne la connaissent pas, et pour cause, donc, ils ne peuvent pas avoir de point de comparaison, et les plus anciens disparaissent petit à petit... D'ailleurs, il est plus difficile à un pratiquant actuel de suivre un office selon la liturgie d'avant le concile que de participer à la Messe en pays étranger dont on ne maîtrise pas la langue !
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