Jésus a dit :
"Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux"... Et il termine en disant "Soyez parfaits comme votre père céleste est parfait". (Mathieu 5)
A la lumière des tristes événements terroristes, cette injonction du Christ est bien difficile à admettre, mais surtout à mettre en pratique. Le premier réflexe, quand on voit tous ces morts innocents qui, quelques secondes auparavant, étaient joyeux, heureux d'être ensemble, et qui sont irrémédiablement séparés par la barbarie de quelques uns, est la haine, le désir de vengeance, une sorte de loi du talion à appliquer immédiatement.
On peut prier pour eux, pour que Dieu les éclaire, mais si un proche est mort, si donc, on est au cœur du drame, si on peut encore prier, peut-on en plus pardonner ? Certains y parviennent, sont-ils nombreux à pardonner à l'assassin de leur époux ou de leur enfant ? Peut-on l'aimer assez pour le bénir et lui faire du bien en retour du mal qu'il a fait ?
C'est ce que Jésus demande... Misericordes sicut pater comme on le chante depuis le début de cette année jubilaire de la miséricorde, mais nous ne sommes que des humains pécheurs, englués dans nos fautes, nos lâchetés, nos égoïsmes et Ton exigence, Seigneur, est bien difficile, voire impossible à satisfaire.....
Sauf peut-être en laissant agir l'Esprit, et en Te faisant confiance, comme tu l'as dit à sainte Faustine.
"Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux"... Et il termine en disant "Soyez parfaits comme votre père céleste est parfait". (Mathieu 5)
A la lumière des tristes événements terroristes, cette injonction du Christ est bien difficile à admettre, mais surtout à mettre en pratique. Le premier réflexe, quand on voit tous ces morts innocents qui, quelques secondes auparavant, étaient joyeux, heureux d'être ensemble, et qui sont irrémédiablement séparés par la barbarie de quelques uns, est la haine, le désir de vengeance, une sorte de loi du talion à appliquer immédiatement.
On peut prier pour eux, pour que Dieu les éclaire, mais si un proche est mort, si donc, on est au cœur du drame, si on peut encore prier, peut-on en plus pardonner ? Certains y parviennent, sont-ils nombreux à pardonner à l'assassin de leur époux ou de leur enfant ? Peut-on l'aimer assez pour le bénir et lui faire du bien en retour du mal qu'il a fait ?
C'est ce que Jésus demande... Misericordes sicut pater comme on le chante depuis le début de cette année jubilaire de la miséricorde, mais nous ne sommes que des humains pécheurs, englués dans nos fautes, nos lâchetés, nos égoïsmes et Ton exigence, Seigneur, est bien difficile, voire impossible à satisfaire.....
Sauf peut-être en laissant agir l'Esprit, et en Te faisant confiance, comme tu l'as dit à sainte Faustine.
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