La messe le dimanche, une heure par semaine. La prière du soir, précédée des lectures du jour, dix minutes ? La lecture de la vie des saints ? Trois minutes, et encore, si c'est un sujet religieux, ce n'est pas forcément un sujet de méditation religieuse ; quelques lectures des vêpres ou des complies quand on n'a rien d'autre à faire, l'Angélus quand on y pense, une dizaine d'Ave Maria de loin en loin, une prière spontanée devant un beau paysage ou pour quelqu'un auquel on pense... Eh bien, même en additionnant tout, ça ne fait pas grand chose !
Surtout par rapport au temps qu'on passe à toutes sortes de tâches plus ou moins indispensables. Il est toujours possible de prier en faisant du repassage, par exemple, mais moins en lisant, en feuilletant une revue, en surfant sur le web.
Pourquoi Dieu passe-t-Il toujours en dernier ?
Parce qu'on n'y pense pas, parce qu'on est englué dans l'ordinaire du jour, parce qu'on ne réalise pas qu'Il est au cœur de nos vies, et pourtant... Quel calme, quelle sérénité l'on ressent après la prière, comme si on avait un avant-goût de ce qui sera notre éternité.
On pourrait s'offrir cette joie plus souvent, non ?
Surtout par rapport au temps qu'on passe à toutes sortes de tâches plus ou moins indispensables. Il est toujours possible de prier en faisant du repassage, par exemple, mais moins en lisant, en feuilletant une revue, en surfant sur le web.
Pourquoi Dieu passe-t-Il toujours en dernier ?
Parce qu'on n'y pense pas, parce qu'on est englué dans l'ordinaire du jour, parce qu'on ne réalise pas qu'Il est au cœur de nos vies, et pourtant... Quel calme, quelle sérénité l'on ressent après la prière, comme si on avait un avant-goût de ce qui sera notre éternité.
On pourrait s'offrir cette joie plus souvent, non ?
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